Oh La La! The US Dollar Sinks Like a Bad Opera—Unravel the Drama! 🎭💾

Banking titan Goldman Sachs believes the US dollar’s poor performance over the last few months is just the beginning of a downtrend that will likely last for years.

Ah! Messieurs et Mesdames, imaginez! The grand Goldman Sachs, ce gĂ©ant de la finance, ose prophĂ©tiser que le dollar amĂ©ricain, ce vaillant lion, n’est qu’un chien qui n’aboie point et, hĂ©las, s’efface lentement comme une Ă©toile mourante dans le firmament Ă©conomique.

Dans un nouvel Ă©pisode de la comĂ©die financiĂšre, le chef Ă©conomiste de Goldman, Jan Hatzius, qualifie le dollar de « chien qui ne grogne pas ». Quelle ironie ! Notre cher hĂ©ros n’est plus qu’un relatif sommeil dans cette piĂšce tragique de la monnaie mondiale.

Il affirme que depuis avril, la bĂȘte s’est redressĂ©e, la bourse a rebondi, mais le dollar, lui, continue de pleurer et de cĂ©der du terrain. Comme une diva capricieuse, il dĂ©daigne la reprise de l’économie et poursuit sa chute dĂ©sespĂ©rĂ©e.

L’économiste insiste que cette tendance n’est pas une simple tempĂȘte passagĂšre, mais bien un signe de malicieuse structure longue durĂ©e—un ballet de mauvais prĂ©sages, si vous voulez. Ah! Que dis-je? C’est comme si l’on observait un navire qui s’éloigne du port, emportĂ© par des courants sous-marins insidieux.

« Le dollar, si fort en apparence, est comme un grand bal masquĂ©. La vĂ©ritĂ©, c’est qu’il doit se dĂ©gonfler dans les annĂ©es Ă  venir, hĂ©las ! »

Il suffit de regarder le dĂ©ficit commercial gĂ©ant des États-Unis, qui doit ĂȘtre nourri par des investissements Ă©trangers, comme un festin sans fin mais dont les invitĂ©s commencent Ă  faire la tĂȘte


Et, mon cher public, il y a ces histoires de confiance, de gouvernements indĂ©pendants et de tourmente fiscale, qui jouent maintenant Ă  cache-cache avec les investisseurs Ă©trangers, rendant la quĂȘte de capitaux aussi ardue qu’une quĂȘte du Graal.

Ce n’est pas une vente Ă  la criĂ©e, non! C’est une danse dĂ©licate oĂč les capitaux, comme des danseurs capricieux, prennent leurs distances, rendant la tĂąche plus ardue pour notre cher dollar.

En avril dernier, notre Ă©conomiste mentionnait un dĂ©ficit colossal de 1,1 trillion de dollars, une dette que la grande AmĂ©rique doit financer avec l’aide des autres nations—les merveilleux mĂ©cĂšnes de cette piĂšce Ă©pique.

Le problĂšme? La consommation amĂ©ricaine dĂ©passe la production—la piĂšce est en dĂ©ficit et le dollar en doit payer la note. Quand ces financiers Ă©trangers prennent leurs distances, notre hĂ©ros en dollar est contraint de se faire plus humble, dĂ©valuant comme un acteur second rĂŽle dans cette tragĂ©die Ă©conomique.

Actuellement, le dollar, ce cher DXY, a perdu environ 10% cette annĂ©e—une chute digne d’une comĂ©die noire oĂč tout s’effondre sous nos yeux.

https://www.youtube.com/watch?v=IXRMnZekBJY[/embed>

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2025-07-26 22:41